Littérature, c'est cool!!!

Merci froggie d'avoir exaussé mon souhait! Je posterai un poème que j'ai écrit demain parce que je n'ai pas pris mon disque dur externe!

Ma Muse

Parmi toutes les étoilent qui parcours l’univers,
Tu m’as conquis par ta simplicité, ta tendresse.
Ma muse, dans ton silence, tu me dictes ces vers
Que tu prends le temps de choisir dans ma détresse.

Parmi toutes les femmes qui peuplent la Terre,
Tu as trouvé en moi la plus grande faiblesse.
Ma muse, sous ton aile, tu me protèges de mon enfer
Pour que jamais ne disparaisse le feu de mes promesses.

Parmi toutes les mers qui couvrent le globe,
Tu m’as noyé dans un lac d’incertitudes.
Ma muse, dans mon cœur reflète ton ombre
Pour changer en louanges les vagues de la lassitude.

Parmi toutes les pierres qui forment la montagne,
Tu m’as jeté la plus dure au visage.
Ma muse, sur ton épaule j’ai versé tant de larmes
Que main dans la main, tu m’emmènes au-delà des nuages.

Lénaïck

si tu nous fais des poêmes je vais peut être en créer une rubrique

merci et bizouxxxxxx

croaaaa

Celui-ci n'est pas très grand, il paraît qu'il n'est pas très gai! moi je l'aime bien, j'étais amoureux quand je l'ai écrit

Histoire d’amour

La nuit est grande et noire pourtant une lueur illumine cet océan !
Certain l’appelle « Lune », Je préfère l’appeler « Espoir » !
Tu es ma lumière lorsque je suis perdu dans un monticule d’incertitude
Tu me redonne espoir quand tout semble perdu
De ta lumière tu guides mes pas vers ce qui semble être l’amour
Le cœur rempli ce cet amour je te « Merci »

Lénaïck

avec un petit peu d'espoir!!!

Petite pensée d’un soir

Perdu dans l’immensitude de la pensée
Où règne le silence,
Je traverse le sentier en quête d’une illusion
Que pourrait être un monde d’amour.
Impossible à trouver dans le monde dans lequel nous vivons.
Le chemin est rude mais pas insurmontable.
Alors j’avance à petits pas mes sûrs.
Je découvre alors que seul,
Il ne peut y avoir d’amour que pour soi même.
A quoi sert de vivre si on ne peut partager l’amour qu’on a à offrir qu’avec soi-même ?

Lénaïck

bon un dernier pour ce soir! Il faut bien que j'en garde pour les autres jours!!!

Un mot incompréhensible
Enfermé entre quatre murs blancs,
Dans une pénombre pesante,
J’écoute le silence troublant
Des mots s’échappant de ma tête pensante.
Ils ne sont ni triste ni gai mais ils existent.
Chacun d’eux exprime le même sentiment.
Très présent à chaque instant il persiste.
Je ne le reconnais pas, un oubli éventuellement.
Habitué aux murmures de mes pensées,
Un bruit vient perturber cet équilibre serein.
Dans un vacarme des mots il essaie de prononcer.
Je sens que la fin n’est plus très loin.
Mes dernières pensées se bousculent,
Elles te sont adressées mais restent vague.
Je déchiffre, je lis, je calcule,
Le mot est là, « A… », trop tard, la nuit me nargue.

Lénaïck